Parfois, dès qu’un enfant atteint l’âge de 2 ans, il commence à perdre son appétit et détester de la nourriture. La plupart des parents rencontrent des difficultés lorsqu’ils nourrissent leurs enfants. Si vous rencontrez aussi ce genre de problème, ne vous paniquez pas. Voici quelques conseils.

Faire quelque chose dès le début

À connaître que vous pouvez distancer ce manque d’appétit de vos enfants. Avant tous conseils, la première et la plus importante, faites quelque chose dès la grossesse. Selon les pédiatres, à partir de la vie utérine, un enfant initie l’appréciation des aliments. Trentaine de semaine plus tard, il peut reconnaître des différents goûts des aliments. Donc la femme enceinte doit varier les aliments qu’elle mange.

Plus tard, les enfants commencent à imiter les grands et entraînent à manger son repas tout seul. Deuxièmement, évitez de remplir son assiette, quelques cuillères suffisent. N’hésitez pas d’en donner à vos enfants s’ils désirent encore de manger. Et aussi, si l’enfant ne mange pas, ne limitez pas la durée qu’il termine son assiette. Arrêter de le forcer quand il n’a pas pu terminer son assiette.

Soyez compréhensif

Forcer trop son enfant qui ne mange pas n’est pas nécessaire parce que plus vous lui forcez de manger, plus son appétit s’en va. L’enfant va ressentir une sorte de peur en voyant que vous le forcez à manger.

Autre conseil, n’oubliez pas de préparer un repas attirant pour que l’enfant ait toujours l’envie de manger. Essayez aussi de ne pas changer l’heure de manger et les autres règles qui ont de rapport avec. Vous pouvez changer aussi de style parfois. Pourquoi ne pas faire du pique-nique et faire des plats qu’ils apprécient ?

Si votre enfant n’aime pas les légumes, par exemple, faites-vous une petite idée de changer le style de cuisson. Peut-être, que l’enfant préfère si ceux-ci sont préparés comme une crudité et tachez de les bien décorez afin d’attirer son attention.

Prenez soin de votre enfant

Le jour où vous faisiez la course, vous pouvez aussi l’emmener pour qu’il puisse choisir les mets qu’il préfère. Sinon invitez-le de vous aider à préparer le repas pour qu’il se sente fier et avoir l’appétence de manger le repas qu’il a préparé. En mangeant sur la table, évitez de mettre des jouets. Ceux-ci le détournent et tout d’un coup, il n’a plus envie de manger.

Quand un enfant ne se contente pas de manger, essayez d’inviter ses amis sur la table, de manger avec lui. C’est sûr qu’en voyant ses amis mangeaient, il va forcément terminer son assiette parce qu’un enfant imite facilement ses alentours surtout ses amis.

À l’époque actuelle, de plus en plus de parents sont curieux de connaître quels aliments bons pour la croissance d’un enfant prioriser en vue de permettre au petit de bien grandir. Le nourrir uniquement de soupe est plus ou moins acceptable, en ce sens que ce plat comporte d’innombrables nutriments nécessaires à la croissance. Contenant plus de minéraux et de vitamines, il permet l’hydratation en fonction de la recette. Il peut être à la fois un fournisseur de protéines, de lipides et de glucides. Mais ce n’est que de la soupe, et du coup cette dernière ne fait pas encore l’unanimité chez votre bambin. Découvrez via cet article quelques aliments à insérer dans le menu, en vue de proposer une alimentation variée et équilibrée.

Les légumineuses (légumes secs), les céréales et le riz

Sources de nutriments, de vitamines, de glucides et même d’énergie, les légumes secs, l’avoine, le maïs, l’orge, les mils, le riz et le blé amènent au petit d’autres calories nécessaires à leur développement. Grâce à un découpoir, vous êtes susceptible de présenter de nombreux aspects à sa ration de riz en vue d’obtenir satisfaction. Pour un menu sain, assaisonnez les féculents pour accompagner viandes et légumes. De la même manière, le pain est susceptible d’être pris avec du fromage, ou tirer au maximum profit d’un déjeuner pour des aliments bons pour la croissance et contribuant à échapper à ces petites prises fragmentées entre les repas.

Le poisson, le poulet, la viande

Les plus riche de calcium, les produits conçus à base de lait prennent part efficacement à la croissance du bambin. Utiles à la santé des os, ces nourritures n’ont pas de difficulté à satisfaire enfants et jeunes. Il est recommandé de leur donner 3 rations tous les jours, vu que ce sont également des aliments bons pour la croissance, protéinés et riches en vitamine. Dans la mesure du possible, offrez-leurs du lait demi-allégé en corps gras (proposant la crème) et comportant au maximum entre 1,8% et 2% de corps gras.

Les œufs

Parfait pour la croissance du petit, l’œuf figure parmi les aliments bons pour la croissance, c’est-à-dire, riche en protéines. Il est question d’une nourriture complète proposant l’intérêt d’être simple à préparer. Vous pouvez cuire l’œuf sous de nombreux aspects, et votre bambin est en mesure de s’amuser en préparant son œuf tout seul, en le faisant participer dans les différents processus de la préparation.

Connue comme un mal qui affecte majoritairement les pays développés, l’obésité n’attaque pas que les adultes, mais aussi les plus jeunes des enfants. Cette maladie est source de nombreux autres malaises et conduit même à la perte de nombreuses vies. Effectivement, même ceux qui sont épargnés ne vivront pas le meilleurs de leurs vies; car la santé est le bien-être. Cependant, les causes de ce surpoids chez les enfants varient selon la personne et son environnement; que faut-il donc faire pour lutter contre l’obésité infantile ?

En savoir plus sur l’obésité infantile

Dans les pays développés comme l’Amérique, le nombre d’enfants obèses entre deux et cinq ans subit une croissance exponentielle. De la malnutrition à la surnutrition, les causes sont multiples. Cette obésité affecte alors cent vingt-quatre millions d’enfants et d’adolescents selon une étude à l’international faite par l’Organisation mondiale de la santé. Beaucoup se voilent alors la face et se trompent en pensant que, plus un enfant a du poids, plus il est en bonne santé.

Les causes de la maladie

Pour lutter contre l’obésité infantile, il est bon de trouver la racine du problème. Cette maladie d’extrême surpoids peut être due à différents facteurs ; comme l’excès de matières grasses ou la sous-estimation de l’allaitement maternel. De ce fait, un enfant peut devenir obèse à cause de son régime alimentaire qui est pauvre en vitamines, mais riche en sucre. En d’autres termes, un régime doit être sain. Une des plus grandes causes de l’obésité chez un enfant, comme chez un adulte, est la diminution de l’activité physique. Il est primordial de savoir que votre bébé doit dépenser de l’énergie et brûler des calories. Par conséquent, un jeune homme qui reste au lit toute la journée et qui ne se lève que pour manger augmentera ses chiffres sur la balance. D’autres facteurs comme la sédentarité et la génétique peuvent aussi être décisifs dans la croissance des enfants en surpoids.

Les solutions pratiques et efficaces

Cette partie solution comportera: une partie préventive et une partie curative. En sachant que la maladie est multifactorielle, d’autres personnes doivent faire plus attention que d’autres. Dans la section préventive, il faut faire très attention à l’alimentation et choisir de la nourriture saine; c’est-à-dire, diminuer la consommation de matière grasse et se pencher sur les fruits et les vitamines. Éviter la maladie consiste alors à surveiller l’environnement de votre enfant, surveiller les habitudes du baby-sitter si vous êtes au travail. Dans la partie traitement, la chose à éviter est de changer brusquement le régime de votre enfant. Alors, lutter contre l’obésité infantile est un combat délicat, car il va falloir apprendre au petit à oublier ses mauvaises habitudes alimentaires. Ainsi, diminuez et améliorez progressivement la nutrition de l’enfant en surpoids, équilibrez la nourriture, incitez-le à bouger davantage, et surtout, faites un suivi régulier de sa santé.

Les différentes types de pains possèdent des fibres en quantité suffisante. Ils contiennent également des vitamines B et divers minéraux. En fait, choisir son pain, c’est dépouiller les points forts caractérisant ce pain.

Les avantages que donne le pain complet

Pour choisir son pain, préférez le pain complet que le pain blanc. De nombreux Français consomment la baguette matin, midi et soir. Pourtant, manger habituellement du pain blanc est un mauvais geste alimentaire délibéré.

Le pain complet se compose de céréales et ne fait pas grossir, si on le considère comme un aliment. Toutefois si l’on parle de régime minceur, le pain complet est le mieux placé vu son index glycémique de la baguette étant à peu près 75. Le pain complet est un pain dont la farine se base sur le blé complet. Cela veut dire qu’on moud simultanément les graines et leur enveloppe (le son). C’est la raison pour laquelle il se compose essentiellement de fibres et de minéraux. Contrairement à cela, le pain de seigle, conforme à son appellation, est constitué de la farine de cette céréale.

Les avantages qu’apporte le pain bio

Le pain bio bénéficie de ses céréales subissant des traitements phytosanitaires. Le son et l’enveloppe du grain qu’il contient ne sont pas perdus lorsqu’il y a suffisamment de céréales pour le faire. De plus, le pain complet, riche en fibres, interfère avec la régulation du transit intestinal. Par cette caractéristique de teneur élevée en fibres, choisir son pain assure un indice glycémique très bas. L’énergie circule dans tout le corps tout au long de la journée, mais n’augmente pas la glycémie.

Les avantages que donne le pain intégral

Les fibres, les vitamines du groupe B, ainsi que les minéraux tels que le fer, le manganèse, le magnésium, le zinc, le sélénium…, ce sont les principaux constituants du pain intégral. Il est aussi un peu riche en acides gras, en antioxydant, en vitamine E. On réalise le pain intégral avec une farine sans raffinage et qui préserve la totalité des composants de la céréale. Le fait de choisir son pain en intégral préserve de nombreuses fibres et vitamines, pas comme dans les autres pains. Mais encore plus, son index glycémique est dérisoire, ce qui lui permet de normaliser votre taux de sucre sanguin. La confection avec un levain naturel à l’ancienne est nécessaire. Veillez à ce que le processus d’élaboration dure plus de 6 heures.

Le NaCl, cette composition chimique qui est présente dans la grande majorité des repas, n’est autre que le sel. Et pourtant, il pose un grand problème pour la santé. L’excès de sel dans le sang provoque beaucoup de maux et troubles qui peuvent être mortels, comme les calculs rénaux et l’hypertension artérielle.

Pourquoi réduire la quantité de sel ?

Votre santé rencontre beaucoup de complications à cause de la consommation excessive de sel. Plus particulièrement, le cancer de l’estomac. Lorsque la quantité du sodium consommée quotidien est dépassée, la muqueuse de l’estomac est endommagée. Pendant un certain temps, l’inflammation de la paroi de l’estomac apparaît, les cellules sont abîmées, ce qui entraîne le cancer. En plus, une alimentation trop salée accroît le risque d’hypertension artérielle qui entraîne également de nombreux problèmes cardiovasculaires, les AVC… Également, c’est la dose excessive du sel qui perturbe le sommeil. La consommation quotidienne du sel qui dépasse l’apport suffisant peut aussi provoquer l’obésité et favoriser la formation de calculs rénaux. L’excès de sel donne beaucoup soif. La dose importante de sel serait un facteur de risque d’ostéoporose qui favorise l’apparition de fractures. Alors, pour que vous soyez en bonne santé, manger moins de sel est très efficace.

Comment manger moins de sel au quotidien ?

Plusieurs façons de manger moins de sel existent pour rayer le sel de vos repas. Changez le sel par des aliments exhausteurs de goût sains comme les herbes aromatiques qui ont d’innombrables bienfaits : la menthe, l’ail écrasé, l’huile de coco, les légumes séchés. Vous pouvez également pimenter vos plats. Pour les aliments achetés en grande surface, lisez bien les étiquettes indiquant la quantité de sel. Évitez d’acheter des aliments trop salés. En effet, pour rehausser le goût de certains aliments ou pour conserver les produits, les industries ont tendance à utiliser beaucoup de sel. Cuisiner à la maison est à donc privilégier puisque vous pouvez décider de la quantité de sel à utiliser. Évitez surtout les aliments à haute teneur en sel tels que les potages en sachet, les charcuteries, les vinaigrettes en bouteille. Consommez les aliments salés avec modération. Le sel diététique est également une bonne alternative puisqu’il a un goût semblable au sel de table. Saupoudrez vos repas avec de l’algue noire qui leur conférera sa saveur légèrement iodée. Tâchez de n’utiliser que le minimum de quantité de sel requise et enlevez la salière sur la table pour éloigner la tentation d’en rajouter.

Quels sont les différents types de sel et leurs particularités ?

En fonction du type de sel utilisé dans vos préparations culinaires, il est possible d’atténuer la dose ingérée. Le sel blanc, traditionnellement appelé sel de table ou raffiné, est très puissant de par sa teneur en chlorure de sodium très élevé. De son côté, le sel bleu tient sa couleur étrange de la sylvinite. Ce type de sel est source de calcium et de phosphore. Le sel gris, quant à lui, est un sel marin à l’état pur. Il est donc 100 % naturel. Raffiné, sa couleur devient blanche. Enfin, le sel noir est un mélange de sel marin et de charbon. Renfermant des minéraux et oligoéléments comme l’iode, le magnésium, le calcium, le zinc, le souffre, il confère plusieurs bienfaits sur la santé. Le charbon qui le compose aide également à neutraliser les maux d’intestins. Toutefois, ces différents sels présentent chacun leurs particularités et il convient de les utiliser à bon escient. Afin d’éviter les divers maux et troubles entraînés par l’excès de sel, il est conseiller de manger moins de sel.

Durant la saison d’été, la forte chaleur est un phénomène insidieux. En effet, cela peut causer la déshydratation surtout chez les personnes âgées, nourrissons et enfants. Cependant, cette action présente de nombreux symptômes qu’il est indispensable de prévenir pour que l’état de santé ne s’aggrave pas.

Ne pas s’exposer au soleil

Comme la saison estivale est la période de vacance, il est toujours essentiel de se protéger. Effectivement, l’exposition permanente au soleil active le vieillissement de la peau et peut provoquer différents cancers de la peau. De ce fait, pour éviter de rester bien hydraté l’été, il faut éviter de rester à l’extérieur trop longtemps. Grâce à la transpiration, l’eau du corps est vidée qui va se dessécher si sa réserve n’est pas remplacée. Puisque ce sont toujours les personnes vulnérables qui sont fortement touchées par ce phénomène, ils doivent toujours se mettre à l’abri. Dans ce cas, les enfants doivent porter des vêtements moulants et un chapeau. Ils doivent également avoir avec eux une lunette de soleil ainsi que des crèmes solaires. Et le plus important c’est de recharger souvent son stock pour ne pas perdre une forte quantité d’eau.

S’hydrater régulièrement

Boire beaucoup d’eau fait également partie des techniques pour ne pas se se déshydrater l’été. Pour cela, vous devez porter constamment une gourde ou une bouteille à chaque sortie. Prenez un verre d’eau toutes les heures, même si vous n’en avez pas envie. Si vous n’avez pas cette habitude, téléchargez des applications spécialement conçues pour ça ou mettez des alarmes sur votre téléphone. Ainsi, vous devez boire au moins 2 litres chaque jour pour ajuster votre consommation d’eau en été. Malgré cela, faites attention aux intérieurs chauffés de manière excessive en hiver. Pour ceux qui font du sport, il est aussi recommandé de s’hydrater avant, pendant et après l’entraînement. Il est à préciser que la prise en un seul coup d’une boisson peut altérer et exténuer votre fonction rénale. Ainsi, le mieux est de la boire chaque heure.

Faire attention à l’alimentation

Durant la saison d’été, il est aussi déconseillé de manger des viandes rouges, mais aussi les nourritures trop salées. Vous devez aussi cesser de prendre des aliments particulièrement savoureux comme les raclettes et cassoulets pour faciliter la digestion. L’idéal est de consommer des plats réconfortants. Pour équilibrer la température, il faut également bannir les boissons froides. Ainsi, il vaut mieux boire à température ambiante ou même des boissons chaudes plus rafraîchissantes pour ne pas se déshydrater l’été, même si cela paraît contradictoire.

Il est devenu une pratique courante de nos jours de prendre internet comme une source de conseils. Le moteur de Google est le plus célèbre des moteurs de recherche au point que le vocabulaire du profane s’est enrichi d’un nouveau mot : « googler ». Les gens googlent leurs emplois, ils googlent leurs achats et ils googlent même leurs problèmes de santé. Attardons-nous davantage sur ce dernier point : faut-il googler ses symptômes ? Les résultats qu’on y trouve permettent-ils d’obtenir un diagnostic sûr ? Ou au contraire, peuvent-ils conduire à l’aggravation de l’état de santé du patient ? La réponse à ces questions repose sur la définition du diagnostic.

Le symptôme

Le symptôme est un trouble extérieur manifestant une maladie ou un dysfonctionnement du corps. Or la pratique enseigne, d’abord, qu’à un symptôme correspondent plusieurs maladies possibles. Par exemple, une fièvre est associée à une grippe, au paludisme et bien d’autres encore. Il est donc de nature injective. Et ensuite, elle révèle que le symptôme peut être une manifestation d’un trouble causé par un autre trouble. Par exemple, dans le cas du Covid-19, l’insuffisance respiratoire est le symptôme de l’inflammation des cellules respiratoires. Et cette inflammation est causée par le coronavirus.

Le diagnostic

Il existe donc dans l’intelligence des symptômes une structure d’enchaînement de causes dépendant des lois de fonctionnement biologique du corps dont il faudrait impérativement tenir compte, si l’objectif est d’obtenir un bon diagnostic.

Et puisqu’établir un diagnostic c’est identifier la maladie et en conséquence pouvoir dire clairement et distinctement les causes des symptômes, il vient que les deux conditions suivantes doivent être nécessairement réunies pour réussir un diagnostic sûr :

Le danger de googler ses symptômes

De là, il devient manifeste à l’esprit de voir que la seconde condition n’est pas vérifiée pour tout le monde. En effet, nous ne sommes pas tous des médecins. Ceci entraîne nécessairement le fait que le diagnostic obtenu en googlant les symptômes serait fort probablement faux. Au mieux, il ne ferait que soulager les symptômes superficiels. Ceci implique immédiatement que les dispositions prises seraient faussement sécuritaires :

Aussi ne faut-il pas googler ses symptômes.

 

Le sommeil est précieux pour tout le monde : petits et grands. Une durée de sommeil de moins de 8 heures présente des conséquences néfastes. Cela concerne la santé physique aussi bien que la santé mentale et le moral. Il y a une étroite liaison entre la santé en général et la privation du sommeil durant les heures nocturnes. Focus sur les bonnes raisons de dormir 8 heures par nuit.

Pour demeurer en pleine forme

Comme tout le monde le sait, il est primordial de dormir au minimum 7 heures par nuit. Le but étant d’être certain de bien récupérer. Après une longue journée de travail, le corps tout comme le cerveau a besoin d’un repos. En favorisant un sommeil suffisant, vous ne craignez rien de votre santé physique. Dormir est synonyme de relaxation et de récupération de fatigue. Un manque de sommeil qui s’accumule entraîne un dérèglement du métabolisme. De ce fait, vous courez le risque de contracter diverses maladies. On peut distinguer l’obésité ou encore le diabète. Sachez aussi que si vous ne faites pas attention à votre durée de sommeil, vous pouvez développer certains cancers.

Pour éviter les problèmes mentaux

Assurer un sommeil de 8 heures par nuit permet de garantir une bonne santé mentale. Le manque de sommeil induit souvent les cauchemars. Il peut également provoquer la paranoïa chez certaines personnes. Ceux qui souffrent d’insomnie peuvent développer une dépression. Ils auront donc des pensées négatives constantes. Ces dernières les empêchent de se désengager des stimuli négatifs. Ce qui pourrait les conduire à faire des choses irréfléchies. L’accumulation de manque de sommeil peut peser sur le moral d’une personne. Ce qui favorise les symptômes de la dépression et les hallucinations. Ainsi, pour une santé mentale optimale, il s’avère fondamental de dormir pas moins de 8 heures chaque nuit.

Pour rester de bonnes humeurs

Dernièrement, le sommeil est un véritable réparateur cognitif. Pour un système immunitaire parfait, couchez à l’heure et complétez les 8 heures indispensables pour se reposer. En effet, le manque de sommeil affecte sur votre humeur. Cela peut entraîner des comportements irréfléchis si vous n’y faites pas attention. Vous aurez comme une envie de crier vos collègues ou votre famille dès le réveil. Votre humeur peut devenir irritable. Ce qui perturbera vos entourages et nuira au bon déroulement de votre journée de travail. Par conséquent, pour rester en bonne santé et pour lutter contre les soucis mentaux, ayez un sommeil suffisant. Garantissez un dodo de 8 heures pour ne pas avoir une humeur de chien.

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